août 31, 2015

Back to school

Le musée d'histoire de l'art de Vienne était tellement magnifique que, pour une fois, c'est en intérieur que nous avons fait quelques photos de tenue ; l'occasion d'immortaliser ce look de rentrée dans un décor des plus prestigieux. Jupe plissée bleue marine, petit polo rose, sneakers blanches et sac mi-cartable mi-reporter en guise d'uniforme.

Ce qui me fait penser que je ne vous ai jamais parlé de mon obsession des polos. Un col, une petite boutonnière et la matière qui va bien ; il ne m'en faut pas plus pour craquer. Pas besoin d'en faire des tonnes, de rajouter trois sautoirs, un blazer ou un petit gilet. Porté avec un jean, un short ou une jupe, tout simplement.

Pourtant, j'adore les blazers (je craque régulièrement sur de nouveaux) et les gilets. Mais j'aime encore plus les vêtements qui se suffisent à eux-mêmes ; ceux que l'on enfile sans passer trois heures devant son miroir en se demandant comment l'associer.

Du basique décontracté - habillé, voilà ce que j'aime dans les polos. Et à mon plus grand dam (rien que ça), on en trouve si peu au rayon femme (ou alors, ils sont terriblement mal coupés et ont l'air tout droit sortis du rayon homme) (non ?).

Bref, si vous repérez de jolis polos, faites-moi signe !

Je voulais aussi vous montrer les deux bijoux que monsieur m'a offert à Vienne. Ils viennent d'une boutique à ne manquer sous aucun prétexte, si vous aimez les bijoux fantaisie. Il y a de l'original comme du plus traditionnel, avec des pierres parfois semi-précieuses, et toujours des matières qui vont durer dans le temps : de l'argent, de l'acier ou du plaqué or.

Cette boutique s'appelle Phantasy Schmuck Galerie ; on la trouve dans le très joli passage Raimundhof, vieux de 200 ans, au numéro 45 de la Mariahilferstrasse. Ils ont aussi une boutique en ligne, mais la livraison ne se fait qu'en Autriche, Allemagne et Suisse.

Le peu de luminosité dans le musée ne nous a pas permis de faire une photo détaillée du collier, mais vous pouvez le voir sur cette photo instagram. Finalement, les deux me font une parure sans en être une. Parce que Cristina Cordula l'a dit : pas de pa-ruuuuuure ma chériiiie !