mars 08, 2024

Lecture commune #8 - Le club des amateurs de romans policiers

Après une petite pause d’une bonne année, et suite aux nombreuses sollicitations des participants aux précédentes éditions, il était temps que notre club reprenne du service pour une huitième lecture commune !

Pour se retrouver entre amateurs de cosy mystery, notre nouvelle lecture nous invite à rejoindre un club d’amateurs de romans policiers.
Un club comme le nôtre, finalement.
Qui se réunit autour de leur passion pour les livres, une tasse de thé à la main.

Espérons seulement que nous ne disparaitrons pas, les uns après les autres, à l’image des membres du club de ce livre...

Le club des amateurs de romans policiers : Ils étaient sept

Quel meilleur endroit, pour commettre un crime, qu’un club d’amateurs de romans policiers ?

Il en faut peu à Alicia Finlay pour être heureuse : un bon petit plat de sa sœur, un verre de vin rouge et un roman policier bien ficelé. Il ne lui manque qu’une seule chose pour que son bonheur soit parfait : pouvoir partager sa passion pour les grands du polar. Aussi décide-t-elle de créer un groupe de lecture qui leur serait dédié. Très vite, les premières candidatures arrivent et bientôt sept membres forment le tout nouveau Club des amateurs de romans policiers.

Chez Alicia, tout est prêt pour leur première réunion : le thé infuse, les toasts sont au chaud. Mais, tandis que les discussions portent sur Les Vacances d’Hercule Poirot, l’un des invités a l’esprit ailleurs. Il n’est pas là par hasard, il a un plan diabolique. Bientôt, un des membres du club est victime d’une tentative d’homicide. Puis un autre disparaît. L’équipe décide de mener l’enquête...

Pour vous laisser le temps de terminer votre lecture en cours et de vous procurer le livre, je vous propose de commencer la lecture dans deux semaines, soit le 22 mars.

Mais vous pouvez aussi nous rejoindre en cours de route grâce au système de discussion, sur GoodReads, qui permet d’éviter tout spoiler.

Une petite douceur...

Rien de telle qu'une bonne boisson chaude pour accompagner sa lecture.

Mais puisque les membres du club des amateurs de romans policiers se réunissent autour des Vacances de Hercule Poirot, le thé attendra ; Poiroit déteste ça !

À la place, je vous propose une boisson qui aurait beaucoup plu au célèbre détective belge d'Agatha Christie : un chocolat chaud épais et onctueux à préparer minute.

 

... et une bande son mystérieuse

Et si vous aimez lire avec un fond sonore, je vous ai préparé une petite playslist spéciale Agatha Christie pour accompagner cette nouvelle enquête !

Pour échanger :

Je vous donne rendez-vous sur le groupe GoodReads de notre club de lecture, dans Lecture commune #8, afin de partager nos impressions et d'essayer de démasquer le meurtrier.

Pour rappel, le roman est découpé en plusieurs parties de quelques chapitres afin de permettre à chacun d'échanger, en cours de lecture, sans se faire spoiler !

 

#undertheplaidbookclub

Et puis on se retrouve toujours sous ce hashtag, sur Instagram, pour partager nos petits moments cosy de lecture et donner notre avis final sur cette nouvelle lecture commune !

Pour vos stories en cours de lecture, n'oubliez pas de me mentionner (@louisegrenadine) afin que je puisse les repartager.

#undertheplaidbookclub, qu'est-ce que c'est ? Rendez-vous sur l'article de présentation du club de lecture pour plus d'explications.

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février 27, 2024

Notre faire-part de mariage sur le thème des années folles

Je ne sais plus vraiment quand, je ne sais plus vraiment pourquoi…
Mais nous avons choisi le thème de notre mariage il y a déjà de nombreuses années.

L’insouciance de l’après-guerre.
L’esprit festif de ces années.
Le vent de liberté.
Les cocktails et les tenues toujours très élégantes.
Autant de choses qui nous ont plu et qui nous ont donné envie de plonger dans les années folles, le temps de notre mariage.

D’ailleurs, pour la petite anecdote, ma bague de fiançailles est de style Art déco ; un mouvement artistique qui battait son plein dans les années 20. On ne l’a pas fait exprès ; j’ai simplement eu un coup de cœur pour cette bague. Mais cela ne faisait finalement que confirmer que ce thème était pour nous.

Alors, quand on s'est penché sur la question du faire-part, on a fait comme beaucoup de monde.
On a parcouru des dizaines de sites internet.
Des centaines d'épingles sur Pinterest.

Et puis, le coup de cœur pour cette grille dorée, ce petit portail, comme une invitation à pousser la porte pour nous rejoindre, le temps d'un week-end.

Création du faire-part

C'est de ce portail doré que la construction de notre faire-part a commencé.
Il était vendu seul ; une page blanche que l'on devait à présent remplir.

Après avoir vu de nombreux modèles Art déco / Gatsby avec des éléments qui nous plaisaient beaucoup, et d'autres qui nous ressemblaient moins, on a finalement décidé de réaliser nous-même l'intérieur, afin de le personnaliser à 100%.

Je suis donc passée sur Canva, un outil vraiment très pratique et facile à prendre en main pour réaliser toute sorte de design, et avec une belle bibliothèque d'illustrations et de polices d'écriture.

Pour avoir accès à un maximum de ressources, j'ai pris un mois d'abonnement, et je me suis lancée.

La partie intérieure est recto-verso : d'un côté, l'invitation avec le lieu et l'heure de rendez-vous.
Et de l'autre, des petites informations pratiques (notre adresse puisque le mariage a lieu chez nous, nos numéros de téléphone, et un mot sur notre thème).

Impression

La taille du carton d’invitation était donc contrainte par nos jolies grilles.
Et disons le tout de suite : la taille n'est pas des plus standard ; il nous a donc fallu chercher un imprimeur pour une impression sur-mesure.

Comme nous avions du mal à trouver, j'ai demandé conseil à ma communauté, sur Instagram. Et je remercie beaucoup les personnes qui m'ont recommandé As de Print, à qui nous avons fait appel.

Ils sont très réactifs, de bons conseils pour le choix du papier, et l'impression est de très belle qualité.
Bref, nous avons été ravis et, à notre tour, nous les recommandons sans hésiter.

Les enveloppes

Je vais être honnête, on ne s'est pas facilité la tâche avec nos grilles aux dimensions peu standard, puisque ce fut aussi assez compliqué de trouver des enveloppes à la bonne taille (mais elles en valaient la peine).

Après pas mal de recherches, j'ai découvert le site enveloppes.com qui vend un grand nombre d'enveloppes de différentes tailles, épaisseurs, matières et coloris.

L'envoi a été très rapide et soigné ; encore une fois, je recommande sans hésiter.

Les timbres

Enfin, il a fallu faire un choix pour les timbres !
Il est possible de les personnaliser, directement depuis le site de La Poste. Cela permet de créer un modèle unique en lien avec le thème de son faire-part.

C'est sans doute ce que l'on aurait fait si nous n'avions pas eu un (nouveau) coup de cœur pour les modèles Orient Express.

Si vous me suivez sur Instagram, ce n'est plus un secret pour vous : j'adore ce train (et les beaux trains, en général).

Mais l'Orient Express, c'est aussi un train qui a connu son apogée dans les années folles.
Et les couleurs du timbre, jaune et bleu, faisaient parfaitement écho à nos faire-part.

* * *

Voilà donc comment sont nés nos faire-part.

Ces petits cartons d'invitation qui sont allés, depuis déjà plusieurs semaines, à la rencontre de nos proches pour les inviter à vivre ce moment avec nous.

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février 22, 2024

Marmelade à l'orange et au whisky

J'aime particulièrement le petit-déjeuner.
Ce moment de la journée qui permet de démarrer tout en douceur.

La lumière du soleil qui inonde progressivement la maison.
Les odeurs de pain grillé qui emplissent la cuisine.
Les premières gorgées d'Earl Grey avec un peu de sucre et un nuage de lait.

Lorsque j'ai un peu de temps, le week-end en général, j'aime me préparer un bon porridge. Onctueux. Réconfortant. Mais en semaine, j'alterne entre un bol de granola et des tartines beurre / marmelade.

Plus que la confiture de fraise ou de myrtille, plus que la gelée de sureau que j'apprécie tant sur des scones encore tièdes, c'est la marmelade à l'orange qui a ma préférence pour démarrer la journée.

J'en achète, régulièrement, notamment au Comptoir Irlandais où une large gamme me tend toujours les bras, mais j'aime aussi préparer, chaque année, ma petite fournée maison.

La recette est très simple ; elle ne demande qu'un peu de temps passé à couper la peau des oranges, et un peu de patience pour la cuisson !

La recette sur laquelle je m'appuie pour faire mes pots de marmelade provient du livre (dont j'aime particulièrement nombre de recettes) Tea fit for a Queen.

À l'origine, elle est prévue pour être réalisée avec des oranges de Séville, pas toujours faciles à trouver, mais peut très bien se faire avec d'autres variétés ; le gout sera simplement différent en fonction de chaque orange choisie.

Les oranges que l'on trouve désormais sur les étals sont rarement riches en pépins. La recette originelle prévoit de les rassembler dans un petit sachet mousseline et de l'accrocher à la casserole pendant toute la durée de la cuisson afin de profiter du pouvoir gélifiant de la pectine naturellement présente dans les pépins. À défaut, j'utilise donc de l'agar agar.

Pour le whisky, qui est un ingrédient facultatif mais qui apporte un goût très intéressant, j'utilise le whisky Clan Campbell dark, qui est plutôt doux, moelleux et onctueux (sans goût tourbé).

 

Ingrédients

Pour une douzaine de pots à confiture :

- 1,5 kg d'oranges non traitées
- 3,5 L d'eau
- 3 kg de sucre de canne blond
- 6 tbsp de whisky (facultatif)
- de l'agar agar

Recette

1. Couper les oranges en deux et presser le jus. Retirer les pépins s'il y en a, et récupérer toute la chair avec une cuillère à soupe.

2. Découper les peaux d'orange en lamelles ; c'est le moment de choisir si vous les préférez fines ou épaisses.

3. Dans une grande casserole, porter à petite ébullition le jus d'orange, la chair, les lamelles d'orange et l'eau. Puis laisser mijoter tranquillement pendant une heure.

4. Ajouter le sucre et mélanger jusqu'à dissolution, à feu doux.

5. Porter à nouveau à petite ébullition.

6. Pendant ce temps, diluer l'agar agar dans quelques gouttes d'eau froide. Pour la quantité, suivre les instructions du paquet pour les amateurs de marmelade bien prise. Pour ceux qui la préfèrent plus liquide, diminuer un peu la quantité.

7. Incorporer l'agar agar à la préparation et laisser mijoter 30 bonnes minutes afin de la faire réduire un peu.

8. Pour savoir si elle est prête, placer deux soucoupes au réfrigérateur. Puis, lorsqu'elles sont froides, déposer une cuillère à café de marmelade et remettre deux minutes au frigo. Passer une cuillère en bois sur la marmelade à la sortie du congélateur ; si elle se froisse au passage de la cuillère, elle est prête. Sinon, faire cuire cinq minutes de plus et refaire l'expérience.

9. Lorsque la marmelade est prête, ajouter le whisky et verser dans des bocaux préalablement stérilisés. Conserver au réfrigérateur lorsque le pot est ouvert.

Étiquetage

J'ai mis plusieurs mois à me décider.

Mais depuis que nous vivons en maison et que nous avons un grand congélateur, je prépare régulièrement des petits plats d'avance (notamment avec les légumes du jardin) sur lesquels j'ai besoin de faire figurer la date de production.

J'ai donc fini par choisir une petite imprimante à étiquettes thermique (sans encre donc).
Que ce soit pour mes plats au congélateur ou pour mes pots de gelées et marmelades.

Il existe tant de modèles que j'ai eu beaucoup de mal à trancher, mais je suis ravie de celui pour lequel j'ai opté. L'imprimante ne tient pas beaucoup de place, l'impression est très nette, il existe plusieurs tailles et couleurs de rubans (j'ai pris du ruban transparent pour les pots en verre du garde-manger), je peux rajouter des illustrations et cadres, et il y a un grand choix de polices de caractères. 

 

Modèle choisi : étiqueteuse Makeid HD 300 dpi

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Set de cuillères et tasses doseuses | Pot en grès chiné (similaires)
Pots à confitures | Livre Tea fit for a Queen

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janvier 30, 2024

La bouture à l'étouffée pour multiplier ses plantes

S'il y a bien une chose que je trouve extraordinaire avec les plantes, c'est le bouturage.
Une feuille, une tige ; c'est tout ce qu'il faut pour multiplier ses plants à l'infini (ou presque).

Et comme les plants bouturés ont les mêmes caractéristiques que la plante mère (couleur, port, robustesse...), c'est la technique parfaite pour végétaliser facilement son intérieur ; en choisissant une plante mère qui se plait chez soi, on s'assure de produire des mini-plantes qui s'y plairont tout autant.

J'ai donc fait pas mal d'essais, au fil du temps.
Mais les boutures que j'avais essayé de faire lorsque nous vivions dans notre appartement lyonnais, relativement sombre, avaient un peu de mal à se développer.

J'ai donc recommencé il y a peu.
Lorsque nous sommes sortis des gros travaux de rénovation de la maison.
Le temps que nos plantes reprennent de la vigueur après avoir (un peu) vécu dans la poussière.
Et après avoir été déplacées de pièce en pièce, au fil des travaux.

C'est donc avec mon peperomia rotundifolia que j'ai découvert cette méthode : le bouturage à l'étouffée.
Une technique qui a l’avantage de demander peu d'entretien et d’avoir un très bon taux de succès.

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